Aaaargh bis.

C'était trop beau pour durer.

Bordel de merde.

Il fait beau.

Le printemps fait place à l'été.

Un maxi-pont de cinq jours après les vacances.

Quasiment trois semaines à ne rien branler.

L'impression de glander au milieu d'un décor de Blanche Neige, en somme.

Panique ce matin quand il s'agit de se lever à 8h00.

On va éviter de baratiner, j'ai même pas pu m'arracher au pieu. Pire qu'une bernicle sur son rocher.

Et voilà que je me rend compte que la masse énorme et ricanante de taf se justifie justement par le fait qu'on avait du temps pour l'abattre.

Sauf Roussette.

Qui elle a préféré se toucher le cul amoureusement devant Mange Mon Geek en se tatant entre jouer aux Sims et une troisième sieste.

Je vous laisse imaginer un peu le truc...

De plus, mon ordi a rendu l'âme, ce qui n'a pas vraiment aider à dactylographier (si j'en avais eu la lumineuse idée) mes devoirs.

J'en ai donc eu pour mon fric et mon temps chez Surcouf.

On peut dire que dans dix mensualités, je serais à nouveau bankable.

Vous me direz qu'est ce que je fous ici à vous arroser de jérémiades sur ce boulot qui ne se fait pas tout seul (enculé!) ?

Ben justement je repousse l'échéance. Pocahontassement.

Il parait que ça veut dire Sans-Aucune-Honte...Qu'est ce qu'on nous invente pas.

Et aussi, je laisse croupir ce dossier de 25 pages à faire au profit de la préparation de mes vacances.

Planification bien plus importante à mon échelle (ne rien foutre dans le meilleur cadre possible) que l'obtention de cette foutue licence de civilisation anglo-saxonne.

Je vous bise.

J'ai des billets de TGV à commander.